samedi 29 janvier 2011

Il faut institutionnaliser des garantis dans la transparence



Il faut institutionnaliser des garantis dans la transparence
L’instabilité de la rue tunisienne nous invite à rechercher le bout de chaine qui manque malgré de multiple acquis en un temps record, entre temps le politique n’arrive pas à décoder cette logique de contestation. Où est alors le malaise ? Un peuple trahie et humilié pendant 23 ans ne veut plus être cocufié encore une deuxième fois. Donc ces manifs qui surgissent de part et d’autres tâtonnent à la recherche de garantis plutôt de régulateurs ! La population a conquis la rue qu’elle considère comme son butin de guerre, elle ne veut plus la quitter désormais un acquis de la révolution, en s’y identifiant à la rue celle-ci s’est personnifiée. En même temps on est surpris devant l’avènement d’un phénomène bizarre qu’on peut appeler le surmoi. Ce surmoi de la rue est sous l’emprise d’un sentiment de culpabilité dans la mesure où le cru du cépage n’est pas réparti d’une manière équitable parmi les acteurs. Car les formations politiques qui ont vécu à l’étranger, les partis politiques interdits et les associations de droit de l’homme ne sont pas représentés, malgré que ces formations politiques et ces associations ont vécu les persécutions, la torture, l’exile . Puis une surprise qui complique la situation , un nouveau phénomène a surgit sans préavis nous rappelle la Marche de Mao, ce sont les kasbisards, un spectre plane celui de la commune de Paris 1871, qui se sont barricadés à la kasbah malgré que le mouvement est spontané et candide certains ont vu à travers se concrétiser la révolution de leur rêve en s’érigeant en lieutenants prônant la lutte armée et réaliser ce que n’a pas été achevé par leur ainé Chie Guevara, normal c’est le prix de la démocratie la Tunisie doit avoir ses Basques ou son ETA ou AZF ,Action directe, son Sinn Féin comme les démocraties occidentales. D’autres font de la politique infantile à la rue Mohamed Ali se collant aux murs d’une centrale qui sent la rue Abdalah Guech depuis 1981 lors du front PSD-Ugtt contre MDS, ils entretiennent la surenchère plaidant pour un conseil de révolution comme si ce sont les maquisards des Djebel Aurès qui ont fait tombé Ben Ali ! . De même une jeunesse en effervescence, qui n’a jamais lu le manifeste du parti communiste, veut tout bousculer elle veut imposer ses propres symboles de l’état et graver sa propre armoiries !. Même l’emblème actuel de l’état est contesté « Ordre, Justice, Liberté » avec une liberté en troisième position et un lion qui fait le singe tenant dans sa main un sabre, l’emblème est alors déchiffré de la sorte « Si tu ne te mets pas à l’ordre la justice te pique ta liberté » . Alors que notre jeunesse adhère au slogan universel ‘’Peace and Freedom’’ a choisie ‘’Contestation – Expression’’ comme emblème car elle sait que la liberté , la justice , la fraternité, la paix , …ne seront réalisées que par les contestations et l’expression, la population cherche son ‘Trafalgar Square’. Quels sont alors ces régulateurs et ces garantis tant recherchés et comment les concrétiser ? Cela doit être des outils qui assurent la pérennité des acquis de la révolution à savoir un espace de contestation et d’expression et de liberté inaliénable. Avec le départ de Morgène et Friaa un effort doit être fait par le gouvernement pour que s’installe un climat de confiance tout en exprimant le civisme tunisien. Pour ce faire il faut Institutionnaliser les espaces de contestation et d’expression et d’observation et de contrôle du gouvernement et de les confier à des symboles crédibles qui inspirent la confiance au peuple et qui ont déjà fait preuve ? Les solutions que je propose c’est de confier par exemple l’espace de contestation et d’expression à des associations de droit de l’homme (Radio Kalima), l’ex siège du RCD de l’avenue Mohamed V doit être reconverti en ‘Dar El Bouazizi des libertés’ et l’espace qui l’entoure un lieu de contestation (un Trafalgar Square tunisien) avec une chaine TV qui diffuse en direct les contestations, ça sera une première dans le monde. La seconde proposition c’est l’institution d’observation et de contrôle du gouvernement et non de l’Etat, genre d’une chaine parlementaire qui sera confiée à un parti minoritaire très estimé pour son engagement continu et qui a bien milité et participé à ce changement (Parti ouvrier tunisien) .L’avenir de la Tunisie se construit dans le droit à la différence tout en récitant chaque jour comme une Fetha la fameuse citation de Voltaire ‘’ Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. ‘’
Kastalli Chérif
Président de l’association méditerranéenne
pour le développement

dimanche 2 janvier 2011

De Béja un cri de détresse en Janvier 2010 annonce le séisme de Sidi Bouzid de Décembre 2010

De Béja un cri de détresse en Janvier 2010 annonce le séisme de Sidi Bouzid de Décembre 2010

Ce sont des répliques à un article dont les commentaires traitent des urgences de la situation actuelle …………………

Les actes manqués des "vrais béjaois"
par Mourad Amdouni, samedi 23 janvier 2010, 02:20
Une manière de penser se propage à un rythme remarquable parmi ceux qui prétendent être des « vrais béjaois ». Il s’agit de voir le vécu de la ville de Béja comme étant « calamiteux ». Leurs points de vus sont caractérisés par une vision qui glorifie le passé de la ville et de ses « vrais habitants ». Inutile donc de parler des façons avec lesquelles ils excluent ceux qui les qualifient de « campagnards », « venues en dehors des lignes de démarcations de la ville »…
Dans un monde qui se transforme à une vitesse de plus en plus réduite, ces pensées trouvent encore une clientèle dans notre ville Béja. Cela reflète une crise d’ «actes manqués » ; des « actes psychopathologiques » selon Freud.
A mon sens, pour être égale à lui-même, sincère et bien dans sa peau, un homme doit changer un lieu qui ne le lui plaît pas. C’est dire que, ceux à qui Béja représente un lieu « maudit » doivent trouver un endroit « bénit », à côté de la mer ! Pour nous laisser vivre tranquille dans cette ville magnifique à mes yeux, à l’instar de mes ancêtres.
Un discours étonne vraiment de la part de celui qui encourage ses enfants à quitter la ville de Béja et de ne jamais penser à y revenir, tandis que lui, ses aïeux et bien sûr ses enfants ont tiré profit de ses terres et continuent ainsi à le faire au présent et au futur. C’est un paradoxe considéré comme un « syndrome inconscient » : tiré profit d’un endroit et le détester au même temps. C’est en quelque sorte être en désaccord avec soi-même, ce qui représente un « acte manqué » bien caractérisé.
Je ne peux pas prétendre que Béja est un paradis sur terre, mais au même moment, je ne peux pas affirmer qu’elle est une ville « chiffon ». Une grande partie de mon identité provient d’elle, de sa nature, de son histoire antique, moderne et contemporaine. Je suis fier de sa beauté et de sa laideur -s’il existe- de tous ceux qui sont fiers d’appartenir à cette ville, à cette région. J’ai de la pitié pour ceux qui ne voient que ce qui est hideux.
Ils sont la plupart du temps septiques, malheureux, dénigrant l’existence et tous ceux qui ont une place dedans. Ce comportement exprimé à travers les écrits et l’expression directe s’explique par : un regret profond d’un passé qui aurait pu être meilleur sur le plan personnel et familial et –ceci est le plus important- la jalousie envers ceux qui ont trouvé, dans le présent une place sous le soleil. Pouvons-nous parler de type d’homme qui a échoué dans sa vie privée, professionnelle et sociale et qui veut rendre les autres ainsi que toute la ville responsable de cet échec ? Pouvons-nous parler aussi d’un genre humain qui se sent dans un état psychique délicat et qu’il veut extérioriser cela à travers des crises d’xénophobies qui touchent les êtres humains ainsi que la ville (son histoire, ses monuments, la façon avec laquelle elle est gérée…) ? Nous somme donc confrontés à une situation de crise personnelle d’identité restreinte.
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Azzouz Amdouni
merci mourad, je partage avec toi la méme idée, ceux qui pétendent etre des vrais béjaois sont ceux qui sont entrain d'empecher Béja de se developper et de progresser, on n'a pas besoin d'eux quelque soit leurs noms leur statut social, ils...Afficher la suite
20 janvier 2010, 08:34 • J’aimeJe n’aime plus
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Imed Kharroubi
Les Derapages Existes partout.
au cours d'1 match du championnat d'europe ete 2004 opposant l'allemage aux paybas des supporters allemands ont brandi un drapeau et des chants racistes et neonazie.
au stade de france ,mars 2008une bonderole ho...Afficher la suite
21 janvier 2010, 14:54 • J’aimeJe n’aime plus
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Mourad Amdouni Si Imed s'il s'agit d'un dérapage commit par des supporters de football ça sera très acceptable puisque sa fait partie du folklore de ce jeu (malgré que je ne suis pas d’accord avec toutes les manières de violence). Je parle dans mon article d’un autre genre de dérapage c’est celui qui touche le mental, la façon de penser et de concevoir les réalités
21 janvier 2010, 19:23 • J’aimeJe n’aime plus
Cherif Kastalli Si Mourad on ne doit pas jeter des fleurs à ceux qu’on doit leurs jeter des épines et des pierres ; Béja est une ville qui est gérée comme un douar, on circule mal les gens construisent sur les trottoirs aucun respect du plan d’aménagement , Béja est une ville chiffon on vend de la friperie au rond point , c’est vrai on a honte d’appartenir à ce Bled car le moindre petit village du Sahel est mille fois mieux aménagé que la ville de Béja. Béja est un cas clinique irrécupérable qu’on doit pleurer à chaudes larmes. Si Mourad on doit mettre sur le banc des accusés ceux qui sont responsable de la détérioration de cette situation , Le matin quand j’accompagne mon fils pour prendre le train vers Tunis , il est embarqué comme on charge le bétail sans aucune dignité . Je signe et je persiste que Béja est gérée comme un douar
21 janvier 2010, 23:00 • J’aimeJe n’aime plus
o Mourad Amdouni
On assiste à une élaboration structurée d’une « culture de l’échec ». Béja est une ville sans avenir et on a honte de ce fait d’appartenir à ses habitants. Cela prouve qu’ont est dans une situation mélancolique donc dépressive ce qui néces...Afficher la suite
22 janvier 2010, 09:12 • J’aimeJe n’aime plus
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Mourad Amdouni On attend tout le bien, bien sûr. Non je déconne. On attend à ce que les générations à venir seront malheureusement imprégner par ce genre de pensées négatives. Avoir honte d’appartenir à une région cela veut dire avoir honte d’appartenir à cette nation et on peut déduire par une logique mathématique avoir honte d’appartenir à l’ensemble de l’humanité. C’est tout simplement être triste la majorité de son existence. Même celui qui est né et grandi dans les jungles tropicaux est fier de cet endroit malgré l’agressivité de ces lieux
22 janvier 2010, 20:48 • J’aimeJe n’aime plus
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مالك ميلاد beja akber men ness el kol un histoire des millers d'années
23 janvier 2010
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Elbjaoui Mondher
Merci si mourad;ton article se rapporte a un sujet a qui tout le monde s'interessent mais que peux de personnes osent s'y exprimer.La honte c'est de ne pas dire la verité et la verité c'est que la ville de beja avance à reculant; ; beacoup de... ses aspets actuels sont pire que ce qu'il etaient au années 50 du ciecle precedent ( on peut prouver ca par photos ).Beja ne merite pas ce sort;et lorsqu'on est certain que l'etat a accordé des sommes enormes pour le developpement de cette region, on doit se poser la question:qui est responsable???
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Cherif Kastalli
Merci Mondher tu es un fervent jaloux de la ville de Béja tu as bien compris le cri de détresse ..
. Je veux entre autre m’adresser aux Beldis constipés qui cautionnent la censure, qui sont pour l’impunité des patrons voyous et entérinent la corruption , qui applaudissent la langue de bois, les lèches tous , les Benis Oui Oui , les nouveaux mercenaires au service du lobby de la robafikia et de la mafia qui réquisitionne nos trottoirs , les minables qui ne veulent pas fâcher leurs Sidi afin de plaire à Sayed el Mo3tamed pour un siège dans le marécage municipal Béjaoua
24 janvier 2010, 21:59 •
Cherif Kastalli
‎@ Si Azouze C’est un problème politique ; c’est notre choix politique des élus , nous sommes tous dans un sale pétrin (ville de Béja et entourage) ; un choix qui s’est soldé par la vente de la friperie en plein centre ville ….. de même on peut être fière d’un fils médecin ou avocat et avoir honte d’un fis alcoolique ou toxicomane la honte n’est pas forcement la haine , on a pitié du sort de Béja .
@ Si Mondher
je confirme les affirmations de Mr Mondher. Comment expliquer alors la défaillance totale de nos élus ? comment expliquer alors le fait de vendre la robafikia au rond point ? comment expliquer la réquisition de nos trottoirs par les vendeurs de friperie , les restaurants, les marchands de légumes ? comment expliquer le non respect du plan déménagement et autoriser les gens à construire sur les trottoirs ? Pour citer un établissement et non des personnes le cas de la reconstruction du dispensaire de El Arbi Zarouk , on reconstruit sans aucun retrait où sont les responsables de l’aménagement de la de la ville de Béja ? Tous ça fait dire que Béja est une ville chiffon, un cas clinique irrécupérable , qu’on doit pleurer à chaudes larmes , mes propos ont suscité la projection de la psychopathie de certain sur moi ! il a reçu la monnaie de sa pièce.
25 janvier 2010, 16:46 • J’aimeJe n’aime plus
o Cherif Kastalli
Il faut s’opposer à la tendance d’une standardisation des militants du RCD, cette approche est révolue avec le système paramilitaire de la jeunesse hitlérienne, Stalinienne et de Mussolini , Le RCD est un rassemblement de militants on trouve des RCDéistes à gauche qui prônent un État laïque d’autres à droite qui ne veulent pas qu’on leurs insulte Ahmadi Enjed. Devant cette mosaïque on a une panoplie de sensibilité politique qui représente la typologie de la société tunisienne, cela dit la seule plateforme qui peut unir cet éventail et cette diversité c’est la bonne gouvernance, la transparence, la lutte contre la corruption, l’impartialité des institutions et des organes de l’État, s’opposer aux profiteurs qui veulent torpiller le projet de société de Ben Ali. Ceci pour sauvegarder nos acquis et consolider nos réussites économiques et préparer un avenir serein pour nos petits enfants
4 février 2010, 17:00 • J’aimeJe n’aime plus
Cherif Kastalli
Faut-il redéfinir le profil des Secrétaires généraux des comités de coordination du RCD ?
La nomination du SG du Comité de coordination du RCD fait de ce dernier qu’il n’a de comptes à rendre qu’à la hiérarchie ignorant les aspirations de la base . Comment réconcilier pour qu’un SG soit à l’écoute de la base et en même temps nommé ? Doit-on le choisir parmi les élus du comité central et des fédérations ? Des questions que le bureau politique doit-il les réexaminer ? faut-il alors un amendement du statut du RCD ? Le débat est ouvert.
4 février 2010, 17:19 • J’aimeJe n’aime plus
Les trois gouverneurs qui ont été limogé leur point commun c’est qu’ils se sont succédés sur Sidi Bouzid. Ce limogeage sera un signal fort pour les responsables régionaux afin qu’ils fassent attention entre assumer une responsabilité et faire le tourisme honorifique. La culture de ‘’je suis passager juste il faut gérer le quotidien pour ne pas susciter des réactions qui fâchent la hiérarchie’’ doit être caduque. Un responsable doit avoir le sens de l’Etat, la préservation des acquis, prévoir des stratégies et des approches pour des éventuels scénarios , identifier et enregistrer les besoins qui sont formulés par la population, dresser des plans et des politiques adaptés en concertation avec les composantes de la société civile et les représentants des formations politiques sans aucun tabou.
31 janvier 2010, • J’aimeJe n’aime plus
Cherif Kastalli Les évènements de Sidi Bouzid désormais feront partie de notre mouvement national pour nous c’est un épilogue d’une indépendance bâclée, pour les jeunes c’est une partie de la chaine de l’histoire. Les nouvelles technologies vont nous laissés un archive extrêmement consistant que les historiens n’ont qu’a faire des analyses et les sociologues l’utiliseront comme référentiel de base pour expliquer dans le future les comportements populaires face à des politiques de développements. Les événements de Sidi Bouzid feront aussi l’objet d’une date on parlera de « Avant Sidi Bouzid et Après Sidi Bouzid » . Des enseignements vont bien être tirés , qu’on veuille ou pas rien ne sera comme avant. Cette secousse sociale nous aidera à bien réfléchir à relire nos copies et rectifier nos approches pour retisser un tissu sociale moderne qui adhère aux valeurs universelles et qui fonctionne avec l’appui d’outils modernes comme la transparence , la bonne gouvernance , la justice sociale et la paix ; une société qui respecte et se respect
Cherif Kastalli Dans ma lettre adressée le 28 Janvier 2010 au Président de la République dont l’Objet est: Persécution des militants de base du RCDJe m’adresse par ces propos « Je viens par cette présente lettre exprimer un désarroi plus qu’un regret en mê...me temps un paradoxe engendré par une logique d’induire en erreur les décideurs centraux en masquant des vérités …………………….Monsieur le président…. ……………………., il est interdit de cerner des problématiques, d’identifier les besoins de faire des critiques, rien ne doit arriver au pouvoir central »Afficher la suite
Il y a 22 heures • Je n’aime plusJ’aime • 1 personne.
. Cherif Kastalli Mon appel de détresse décrit bien une vérité criante de la planification à l’intérieur du pays et voila que le malaise exprimé par la population de Sidi Bouzid atteste un disfonctionnement du système d’élaboration des plans de développement... dans les régions en entrainant la mise en place de politiques de développent non adaptés . De même on ne prend pas au sérieux la population quand elle revendique que l’économie de la région est basée sur l’agriculture avec un manque de capitaux criant. Que le désengagement de l’état, à long terme ,va pénaliser la région et on va se trouver avec un déficit en matière de création d’entreprises . qu’il est alors important d’envisager un processus en boucle qui consiste à recycler l’argent de la privatisation où l’état construit des usines puis elle les privatise et les met en bourse.Afficher la suite
Il y a 21 heures • J’aime
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Ingenieur adjoint et exploitant agricole .Marié père de 2 enfants